- Musique Metallica, les dieux du metal au Stade de FranceJeab-Christophe Mary - 13 mai 2019 Dimanche 12 mai, Metallica était au Stade de France pour une date unique. Le quatuor californien livrait les titres encore tout chauds de «Hardwired... to Self-Destruct"». Riffs en béton armés, ruptures de rythmes à gogo, chant furieux et rageur, Retour sur un show d’une classe exceptionnelle.
![]() Photo JC Mary
A 19h15, dans la foulée du quartet Stoner Punk Norvégien Bokassa, les suédois de Ghost ouvrent les hostilités et délivrent un heavy metal de bonne tenue avec des mélodies pop derrière un rock massif, brut de décoffrage. Le public ravit leur fait une ovation triomphale. Entracte d’une bonne demi-heure pendant laquelle la foule commence à se presser autour de l’immense scène. De la pelouse aux tribunes basses et hautes, ce soir le Stade est archi-comble. A 21h, la scène s’illumine tandis que la sono diffuse « The Ecstasy of Gold extrait du Bon », la Brute et le Truand d’Ennio Morricone ovationné par les milliers personnes présentes. Dès les premiers accords, le stade se transforme en un immense terrain de guerre où des milliers de corps bondissent à l’unisson. Durant les deux heures trente du concert, beaucoup de spectateurs installés dans les gradins préfèrent rester debout. Les quatre horsemen attaquent quelques titres du dernier « Hardwired... to Self-Destruct » avant de survoler les 17 albums mythiques qui ont bâti la légende. A 22h45, le quatuor s’avance pour les rappels. Arque bouté derrière sa ESP marron, James Hetfield entonne « Spit Out the Bone », suivi d’un « Nothing Else Matters » d’antholgie. Dernier titre joué, « Enter the Sandman » (monumental !) qui laisse le public KO debout. Les amateurs de gros sons ressortent en sueur à peine remis de leurs émotions. On vous le confirme : les Metallica restent haut la main « les maîtres du monde » de la galaxie métal. Jean-Christophe Mary pour ww.micmag.net
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Photo extraite du film de Mario Grave - S'abonner sur notre canal Youtube pour avoir accès à nos films :
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Paris - Jusqu'au 28 septembre 2025
« Le Mur de Berlin. Un Monde divisé »
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« Le Mur de Berlin. Un Monde divisé » jusqu'au 28 septembre 2025 à la Cité de l’architecture et du patrimoine Paris 16e |
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Le buste de Jim Morrison enfin retrouvé !
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