Port-au-Prince - documantaire Rachèle Magloire, le message fort du film documentaire haïtienHélios Molina - dec. 2017 Femme engagée dans son pays, elle utilise sa caméra comme arme de dénonciation sur des problèmes majeurs d'ici ou d'ailleurs. Co auteur du docu Deported, cruel témoignage d'une double peine imposée aux Haitiens qui ont fait leur vie aux USA et n'ont aucune attache sur l'ïle de leur parents .
Rachèle Magloire chez elle, une documentariste engagée en Haïti. ©. Hélios Molina Grandi au Québec durant la dictature des Duvalier. Rachèle Magloire, 55 ans, est une militante qui a vécu de nombreuses expériences de presse, télé et documentaires en Afrique comme au Canada. Femme engagée pour une lutte contre les injustices d’ici ou d’ailleurs, elle s’est faite remarquer pour « Les enfants du coup d’Etat » en 1999 et ensuite « Deported » (documentaire de 2013 –). Dans le premier elle revient sur les viols de femmes durant le coup d’Etat militaire de 1991 à 1994. Dans le 2e docu elle part à la rencontre de ces fameux haïtiens qui on grandi aux USA et n’ont quasiment aucune attache avec Haïti. Mais suite à des ennuis judiciaires, ils sont déportés par les autorités américaines et arrivent dans l’île après leur peine de prison américaine ou soit la double peine leur est appliquée. De véritables fantômes humains qui déambulent dans les rues de Port-au -Prince ou dans la campagne des alentours. Des êtres semi détruits par leur nouvelle vie imposée sans humanité et sans appui moral. Ce dernier docu co-réalisé avec Chantal Regnault est un cri de citoyen maudit lancé à la gueule du géant américain tout proche, imperturbable voisin malgré le désarroi humain. Rachèle revient pour nous sur le tremblement de terre de janvier 2010 : « J’étais en stationnement avec ma voiture quand cela a commencé. J’ai vu un pan d’église s’effondrer. Depuis tout a changé. Plus rien n’est comme avant. Notre rapport à la vie n’est pas le même. C’est comme si on nous avait coupé un bras. Nous sommes tous fragiles. » Rachèle donne ensuite sa vision du vaudou : « c’est une arme de défense, une préservation de note identité. Le rapport au monde est différent. » Hélios Molina pour www.micmag.net 2017 |
Photo extraite du film de Mario Grave - S'abonner sur notre canal Youtube pour avoir accès à nos films :
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