25-01-2011 12:32:37

Vintage Hi-Fi Tendance

Hold-up sur le son des seventie’s.
C’est un véritable plaisir d’écouter le vinyle de son choix avec un matériel Hi-Fi qui enrichit l’écoute. Et le matériel des seventies atteignit les sommets de la technologie !
Par Hélios Molina


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Le vieux matériel Hi-Fi des années 60-70 de marques françaises ou étrangères est à la mode. A partir du milieu des années 80,  le matériel numérique miniature fait son apparition et entre dans les intérieurs. Nous vivons l’époque du "small is beautifull". Il a l’avantage d’être bon marché et facile à caser dans un appartement. Les quinquagénaires cachent leur "vieux matériel son" à étages qui prend de la place de peur d’être catalogués de ringards. Les temps changent, les modes aussi. Retournement de situation, les militants du son des seventies en cours de reconnaissance interpellent les amateurs et proposent de faire un test très simple de quelques secondes : -"mettons le tube de votre choix en lecture et écoutons-le avec deux types de générations de matériels". Effet concluant ! Le  vintage gagne sur tous les fronts. Des "agités" de 25-45 ans dans tout l’hexagone se sont depuis peu découvert une nouvelle passion autour du son, des amplificateurs, des tuners, des enceintes et autres équipements d’époque. Il y a pour certains une recherche de design, un look.

Ce marché est véritablement international et encore une fois les Etats Unis sont "des gloutons de sons" suivis de peu par les Asiatiques.

 En France, certains ont dans ce domaine des garages emplis de machines sonores, des appartements dévorés par les chaînes ou les platines, le tout est parfois très envahissant et source de conflit au sein des couples comme nous avons pu le constater. Dominique Thiébault, l’un d’eux connaît même certains cas de séparation dus à l’esprit insatiable du collectionneur. Autre signe des temps, "Sounds good" une première boutique du genre vient d’ouvrir aux Puces de St Ouen, Rémi Ader, commissaire-priseur, s’est risqué dans ce domaine à Drouot, Me Lelièvre à Chartres fait régulièrement des ventes. Les anciens comme Les Docks de la radio rue Jules Vallès à St Ouen sont souvent cités en référence. Pour Yves Pasquinelly, collectionneur parisien ce matériel est sous-évalué au vu de la qualité de fabrication et des matériaux utilisés. Mais selon ce dernier, les prix ne devraient pas tarder à s’affirmer. Pourquoi une telle ferveur autour du son ? Les puristes, les amateurs de lectures sonores, de qualité musicale, n’ont pas trouvé sur le marché actuel, celui du numérique les courbes graphiques du son souhaitées, les basses ou les graves que l’on obtenait en pleine éclosion du pop, du rock ou du folk.

Un son made in France

Quel genre de matériel choisir ? A tubes ou à transistors ? Ou encore faut-il choisir des marques stars américaines comme Mackintosh ou Marantz ?  Tout d’abord vous entrez dans le très sélect club du vintage. Mais que signifie le mot vintage dans ce domaine ? Cela concerne un grand nombre de matériel d’avant guerre jusqu’aux années 80. Les années 70 sont l’apogée du son, par la suite "c’est la dégringolade". Il n’y a pas de liste précise tant le sujet est vaste. Durant les années 60, la France possédait une véritable industrie autour de la Hi-Fi. De nombreuses marques tentaient d'approcher la perfection du son. Clément, Gaillard, Charlin, Jason, Audiotec, Hitone sont quelques concepteurs de cette époque, noms aujourd’hui disparus et dévorés par les prouesses en prix et marketing des marques japonaises durant les années 70. Bien sûr, si vous avez les moyens Marantz ou Mackintosh sont des marques très appréciées. C’est donc une belle liste d’appareils que les collectionneurs et amateurs avertis tentent de chiner par petites annonces, sur les brocantes ou sur Internet. L’intérêt d’acheter une chaîne Hi-Fi (constituée des marques différentes) de cette époque dans un magasin offre en principe quelques avantages dont celui d’un matériel révisé et  garanti. Les sites d’enchères sur Internet sont très visités par les collectionneurs qui connaissent les limites et les quelques erreurs à ne pas commettre dans le domaine technique. Par exemple, les appareils américains nécessitent un transformateur pour l’amplificateur (de 220 v en 110 v) mais vous aurez quelques soucis pour les tuners, les magnétophones ou les platines. Les connaisseurs parlent de surévaluation du marché sur Internet, de prix excessifs à cause de l’engouement des Asiatiques pour ce secteur. Il est préférable, en tout cas si vous ne connaissez pas grand-chose au matériel Hi-Fi, de se faire conseiller avant achat par un passionné. Les forums Internet sont de véritables viviers où l’on pose sa question avant de se lancer dans un achat avec l’étranger et des risques de casse dans le transport plus les frais de douanes possibles. Il y a enfin pour chiner la traditionnelle piste des puces et le collectionneur parisien Pasquinelly en a fait son terrain de chasse favori. En fréquentant assidûment les Puces de Montreuil, de St Ouen ou le marché d’Aligre, il s’est constitué un réseau d’amis et de bien belles pièces (parfois pour quelques dizaines d’euros) qu’il utilise pour le plus grand plaisir des invités.

Un suractif au pas de course

Journaliste spécialisé Hi-Fi sur journal en ligne, passionné depuis l’âge de 13 ans, l’Orléanais Sébastien Amiet est un fin connaisseur qui court sur tous les fronts soniques. Réparations de matériel, chine dans les brocantes et sur Internet, passion des vieilles voitures, appareils photos, cet homme de 33 ans a tout du petit génie qui touche à tout. Ses conseils peuvent être précieux en matière de réparation.

Micmag.net : A 33 ans pourquoi cet appel céleste du vintage ?

Sébastien Amiet : C’est une potion magique. La chose a commencé avec les radios anciennes. J’avais 13 ans et j’ai réparé une vieille radio au bout de quatre mois avec l’aide d’amis. J’ai appris sur le tas. Et puis j’en ai eu une centaine que je n’ai plus. J’ai eu des murs de matériel Hi-Fi.

MM : C’est quoi un mur de Hi-Fi ?

S.A. : C’est une bonne cinquantaine d’appareils des années 40-50-60 de toute provenance. Mais cela ne sert à rien d’avoir du matériel ancien sur des étagères. Ce qui m’intéressait était de les utiliser... On peut dire qu’il y a 20% de produits intemporels dont on se souviendra dans 50 ans.

MM : Comment faire un choix entre appareil à Transistor ou à tubes ?

S.A. : On trouve des amplis à tube jusqu’aux années 70. Le tube se fait toujours. Chez la majorité des constructeurs, il s’est arrêté dans les années 65. Le transistor est plus petit, plus léger, moins coûteux en fabrication. Il ne chauffe pas. Je préfère le tube en sachant qu’il existe une dizaine de transistors dans le monde qui sont capables de fonctionner avec de très bons résultats. C’est incomparablement plus fragile et plus compliqué à réparer. Un tube bien fait marchera cinquante ans. Un ampli à transistor, cela peut prendre 30 heures de restauration tandis qu’un ampli à tubes c’est 2 ou 3 heures.

MM : Vaut-il mieux choisir une marque française ou américaine ?

S.A. : Pour la fiabilité et le prestige, les Américains on fait des choses incroyables. Ils avaient une avance technologique certaine surtout pour Mackintosh, Marantz. On peut les utiliser avec du matériel récent. Les marques françaises sont plus fragiles. Il arrive fréquemment que les appareils ne soient pas aux normes. Mais il y a de très belles choses partout.

MM : Question de prix, le matériel français est-il moins cher ?

S.A. : Avec l’émergence des marchés parallèles et Internet, tout est cher. Il faut savoir qu’un appareil s’use, les composantes vieillissent. Il peut perdre jusqu’à 50% de ses capacités musicales. Il y a surcote sur Internet. Il faut donc prévoir le coût de restauration.

MM : Pour une chaîne complète (ampli, tuner, platine, enceintes), il faut compter quel prix ?

S.A. Si l’on prend une chaîne haut de gamme : une paire d’amplificateurs Mackintosh des MC 30 du milieu des années 50, il faut compter 1 500 -2 000 euros la paire. Un pré ampli, c’est encore 1 500 euros. Un tuner de la même marque, c’est 500 euros, la platine disque 500 euros. Puis il manque les enceintes, mais là tout est permis. Dans une chaîne de moindre qualité, prenez un amplificateur Scott à 500 euros, un tuner Scott à 400 euros, une platine disque Thorens autour de 150 euros. Budget entre 1 000 et 1 500 euros sans compter les enceintes.

MM : Comment faire apprécier ce matériel dans l’ère du numérique à bas coût ?

S.A. : Nous ne sommes pas du tout dans l’ère du jetable, c’est une autre culture. Les appareils sont conçus pour durer. C’est acheté à vie, le sans souci absolu.  Ca peut être l’occasion d’acheter du matériel professionnel à moindre prix. Le marché asiatique a compris ce qu’était un appareil mythique.

Le vieux matériel hi fi des années 60-70 de marques françaises ou étrangères est à la mode. A partir du milieu des années 80,  le matériel numérique miniature fait son apparition et entre dans les intérieurs. Nous vivons l’époque du « samll is beatifull ». Il a l’avantage d’être bon marché et facile à caser dans un appartement. Les quinquagénaires cachent leur « vieux matériel son » à étages qui prend de la place de peur d’être catalogués de ringards. Les temps changent, les modes aussi. Retournement de situation, les militants du son des seventies  en cours de reconnaissance interpellent les amateurs  et proposent de faire un test très simple de quelques secondes : -« mettons le tube de votre choix en lecture et écoutons-le avec deux types de générations de matériels ». Effet concluant ! Le  vintage gagne sur tous les fronts. Des « agités » de 25 - 45 ans dans tout l’hexagone se sont depuis peu découvert une nouvelle passion autour du son, des amplificateurs, des tuners, des enceintes et autres équipements d’époque. Il y a pour certains une recherche de desing, un look. Ce marché est véritablement international et encore une fois les Etats Unis sont « des gloutons de sons » suivis de peu par les Asiatiques. En France, certains ont dans ce domaine des garages emplis de machines sonores, des appartements dévorés par les chaînes ou les platines, le tout est parfois très envahissant et source de conflit au sein des couples comme nous avons pu le constater. Dominique Thiébault, l’un d’eux connaît même certains cas de séparation dus à l’esprit insatiable du collectionneur. Autre signe des temps, « Sounds good » une première boutique du genre vient d’ouvrir aux puces de St Ouen, Rémi Ader, commissaire-priseur s’est risqué dans ce domaine à Drouot, Me Lelièvre à Chartres fait régulièrement des ventes. Les anciens comme Les Docks de la radio rue Jules Vallès à St Ouen sont souvent cités pour référence. Pour Yves Pasquinelly, collectionneur parisien ce matériel est sous-évalué au vu de la qualité de fabrication et des matériaux utilisés. Mais selon ce dernier, les prix ne devraient pas tarder à s’affirmer. Pourquoi une telle ferveur autour du son ? Les puristes, les amateurs de lectures sonores, de qualité musicale, n’ont pas trouvé sur le marché actuel, celui du numérique les courbes graphiques du son souhaitées, les basses ou les graves que l’on obtenait en pleine éclosion du pop, du rock ou du folk.

Un son made in France

. Quel genre de matériel choisir ? A tubes ou à transistors ?Ou encore faut-il choisir des marques stars américaines comme Mcintosh ou Marantz ?  Tout d’abord vous entrez dans le très sélect club du vintage. Mais que signifie le mot vintage dans ce domaine ? Cela concerne un grand nombre de matériel d’avant guerre jusqu’aux années 80. Les années 70 sont l’apogée du son, par la suite « c’est la dégringolade ». Il n’y a pas de liste précise tant le sujet est vaste. Durant les années 60, la France possédait une véritable industrie autour de la hi fi. De nombreuses marques tentaient approcher la perfection du son. Clément, Gaillard, Charlin, Jason, Audiotec, Hitone sont quelques concepteurs de cette époque, noms aujourd’hui disparus et dévorés par les prouesses en prix et marketing des marques japonaises durant les années 70.Bien sûr, si vous avez les moyens Marantz ou Mcintosh sont des marques très appréciées. C’est donc une belle liste d’appareils que les collectionneurs et amateurs avertis tentent de chiner par petites annonces, sur les brocantes ou sur internet. L’intérêt d’acheter une chaîne hi fi  (constituée des marques différentes) de cette époque dans un magasin offre en principe quelques avantages dont celui d’un matériel révisé et  garanti. Les sites d’enchères sur internet sont très visités par les collectionneurs qui connaissent les limites et les quelques erreurs à ne pas commettre dans le domaine technique. Par exemple les appareils américains nécessitent un transformateur pour l’amplificateur (de 220 v en 110 v) mais vous aurez quelques soucis pour les tuners, les magnétophones ou les platines. Les connaisseurs parlent de surévaluation du marché sur internet, de prix excessifs à cause de l’engouement des asiatiques pour ce secteur. Il est préférable en tout cas si vous ne connaissez pas grand-chose au matériel hi fi de se faire conseiller avant achat par un passionné. Les forums internet sont de véritables viviers où l’on pose sa question avant de se lancer dans un achat avec l’étranger et des risques de casse dans le transport plus les frais de douanes possibles. Il y a enfin pour chiner la traditionnelle piste des puces et le collectionneur parisien Pasquinelly en a fait son terrain de chasse favori. En fréquentant assidûment les puces de Montreuil, de St Ouen ou le marché d’Aligre il s’est constitué un réseau d’amis et de bien belles pièces (parfois pour quelques dizaines d’euros) qu’il utilise pour le plus grand plaisir des invités.

Ecoute d’un vinyle sur un Bourdereau  un must du genre made in France fait pour l’ORTF. Ph. H.M.

Photo intérieur son : Chez le collectionneur Pasquinelly, la collection est en même décorative et fonctionnelle. Ph. H.M.

Vieille publicité pour vanter les mérites d’une marque aujourd’hui légendaire Charlin. Ph. H.M.

Excellent amplificateur Phillips, jadis un joyau très cher qui pourrait passer aujourd’hui pour une radio. Ph. H.M.

Amplificateur-préampli Hitone 2 X30w à lampes. Fabrication française de fin des années 60 de très haut de gamme chinée chez Sounds good aux puces avec le tuner H. Fmts et les enceintes  H E115 pour 2500 euros. Doc. D.R.

Un suractif au pas de course

Journaliste spécialisé Hi Fi sur journal en ligne, passionné depuis l’âge de 13 ans, l’orléanais Sébastien Amiet est un fin connaisseur qui court sur tous les fronts soniques. Réparations de matériel, chine dans les brocantes et sur internet, passion des vieilles voitures, appareils photos, cet homme de 33 ans a tout du petit génie qui touche à tout. Ses conseils peuvent être précieux en matière de réparation.

Micmag.net : A 33 ans pourquoi cet appel céleste du vintage ?

Sébastien Amiet : C’est une potion magique. La chose a commencé avec les radios anciennes. J’avais 13 ans et j’ai réparé une vieille radio au bout de quatre mois avec l’aide d’amis. J’ai appris sur le tas. Et puis j’en ai eu une centaine que je n’ai plus. J’ai eu des murs de matériel Hi Fi.

MM : C’est quoi un mur de Hi Fi ?

S.A. : C’est une bonne cinquantaine d’appareils des années 40-50-60 de toute provenance. Mais cela ne sert à rien d’avoir du matériel ancien sur des étagères. Ce qui m’intéressait était de les utiliser... On peut dire qu’il y a 20% de produits intemporels dont on se souviendra dans 50 ans.

MM : Comment faire un choix entre appareil à Transistor ou à tubes ?

S.A. : On trouve des amplis à tube jusqu’aux années 70. Le tube se fait toujours.Chez la majorité des constructeurs, il s’est arrêté dans les années 65. Le transistor est plus petit, plus léger moins coûteux en fabrication. Il ne chauffe pas. Je préfère le tube en sachant qu’il existe une dizaine de transistors dans le monde qui sont capables de fonctionner avec de très bons résultats. C’est incomparablement plus fragile et plus compliqué à réparer. Un tube bien fait marchera cinquante ans.Un ampli à transistor, cela peut prendre 30 heures de restauration tandis qu’un ampli à tubes c’est 2 ou 3 heures.

MM : Vaut-il mieux choisir une marque française ou américaine ?

S.A. : Pour la fiabilité et le prestige, les Américains on fait des choses incroyables. Ils avaient une avance technologique certaine surtout pour Mc Intosh, Marantz.On peut les utiliser avec du matériel récent. Les marques françaises sont plus fragiles. Il arrive fréquemment que les appareils ne soient pas aux normes. Mais il y a de très belles choses partout.

MM : Question de prix, le matériel Français est-il moins cher ?

S.A. : Avec l’émergence des marchés parallèles et internet tout est cher. Il faut savoir qu’un appareil s’use, les composantes vieillissent. Il peut perdre jusqu’à 50% de ses capacités musicales. Il y a sur cote sur internet. Il faut donc prévoir le coût de restauration.

MM : Une chaîne complète (ampli, tuner, platine, enceintes) il faut compter quel prix ?

S.A. Si l’on prend une chaîne haut de gamme : une paire d’amplificateurs Mcintosh des MC 30 du milieu des années 50 il faut compter 1500 -2000 euros la paire. Un pré ampli c’est encore 1500 euros. Un tuner de la même marque, c’est 500 euros, la platine disque 500 euros. Puis il manque les enceintes, mais là tout est permis. Dans une chaîne de moindre qualité prenez un amplificateur Scott à 500 euros, un tuner Scott 400 euros, une platine disque Thorens autour de 150 euros. Budget entre 1000 et 1500 euros sans compter les enceintes.

MM : Comment faire apprécier ce matériel dans l’ère du numérique à bas coût ?

S.A. : Nous ne sommes pas du tout dans l’ère du jetable, c’est une autre culture. Les appareils sont conçus pour durer. C’est acheté à vie, le sans souci absolu.  Ca peut être l’occasion d’acheter du matériel professionnel à moindre prix. Le marché asiatique a compris ce qu’était un appareil mythique.

 

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